Depuis quelques jours et en particulier, à partir du dernier passage à la TV, c’est devenu un passe temps. Celui de vérifier, chaque fausse vérité, le moindre mot cité, la moindre locution, cela enclenche une controverse médiatique importante pour mettre en avant chaque fausseté, chaque mot de travers. Et la Taxe Carbone alors !
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Rien à ajouter, tellement de vidéos postées… Il me faudrait presque une semaine pour…
Voici cette raison pour laquelle il faut éviter à tout prix de retirer de l’argent dans un distributeur de billets ailleurs que dans votre banque ! On vous donne tous les détails dans les lignes qui suivent…
Distributeur de billets : cette raison pour laquelle il faut éviter à tout prix de retirer de l’argent ailleurs que dans votre banque.
Si vous êtes habitué à retirer fréquemment de l’argent au DAB sans se soucier à qui appartient le distributeur, sachez que c’est désormais une très mauvaise idée. On vous explique pourquoi.
Cette année, de nombreuses banques ont réduit le nombre de retraits gratuits effectués dans des DAB extérieurs à leur réseau, communément appelés « retraits déplacés ». En outre, les frais associés à ces opérations ont considérablement augmenté dès que vous dépassez ce quota. Selon le comparateur Panorabanques, les frais de retraits extérieurs ont augmenté de 48 % entre 2021 et 2023. Effectuer chaque mois un « retrait déplacé » payant s’élèvera en moyenne à 12,75€ en 2023 contre 8,60€ deux ans plus tôt.
Il est à noter que ces frais varient d’une banque à l’autre. Par exemple, si vous êtes client du LCL et que vous effectuez plus de trois retraits extérieurs dans le même mois, chaque opération supplémentaire vous coûtera 1,42 €. Pour la Banque populaire occitane, ce montant s’élève à 1,30 €, selon Le Parisien.
Un « rattrapage au sortir de la crise sanitaire » ! : Pourquoi une telle hausse ? « Les coûts d’entretien d’un distributeur augmentent pour les banques, mais aussi les commissions qu’elles payent lorsqu’un client retire dans un autre établissement », explique auprès du quotidien francilien, Basile Duval de Panorabanques.
Il s’agit selon lui, d’ « un rattrapage effectué au sortir de la crise sanitaire ». Avec la hausse du coût de la vie, de nombreux ménages sont désormais très attentifs à leurs dépenses. Il ne serait donc pas judicieux de jeter ainsi son argent à la fenêtre alors que c’est bel et bien évitable.
Pour réduire les coûts, BNP, le Crédit Mutuel, le CIC et la Société Générale ont opté pour une approche novatrice en mettant en commun 15.000 distributeurs.
Pourquoi Volodymyr Zelensky a utilisé un avion officiel français pour se rendre au G7, et pas seulement.
Ce n’est pas la première fois que le président ukrainien utilise un avion de la République. Il est question d’amitié et, surtout, de sécurité.
Par huffingtonpost.fr – Romain Herreros – Publié le vendredi 20 mai 2023 à 12:21 – Mis à jour à 12:27
Ukraine’s President Volodymyr Zelensky disembarks upon his arrival at Hiroshima Airport at Mihara, Hiroshima prefecture, on the second day of the G7 Summit Leaders’ Meeting on May 20, 2023. (Photo by Yuichi YAMAZAKI / AFP)
POLITIQUE – À première vue, l’image peut interpeller : À son arrivée au sommet du G7 ce samedi 20 mai 2023, le président ukrainien Volodymyr Zelensky est descendu sur le tarmac de l’aéroport Hiroshima, au Japon d’un avion estampillé République française et décoré de nos couleurs nationales. Même chose la veille, où le chef d’État ukrainien avait utilisé le même avion pour se rendre au sommet de la Ligue arabe à Djeddah, en Arabie saoudite.
Images similaires : vêtu de kaki, c’est donc depuis un avion tricolore que l’intéressé est descendu sur le tarmac. Ce dont plusieurs élus Renaissance se sont félicités, à l’image du député de Paris Benjamin Haddad ou de son collègue des Français établis hors de France Pieyre-Alexandre Anglade.
Un compte Twitter spécialisé dans la veille de l’aviation officielle de la République française a d’ailleurs suivi le déplacement de l’avion utilisé par le président ukrainien, livrant au passage quelques informations supplémentaires. Volodymyr Zelensky a ainsi volé dans un Airbus A330-243 appartenant au Commandement du transport aérien militaire (COTAM), géré par l’Armée de l’Air et comparable (du moins dans son format) à l’appareil dans lequel Emmanuel Macron effectue ses déplacements internationaux.
Une escale en Pologne : Parti de Villacoublay en France, l’avion a fait escale en Pologne, d’où a commencé le voyage du président ukrainien. Auprès d’Europe 1, une source élyséenne confirme que la France a bien mis cet avion à disposition du chef d’État ukrainien. La raison ? « Une preuve de confiance entre la France et l’Ukraine », soit l’affirmation du soutien diplomatique sans faille apporté par Paris à Kiev. La radio affirme que c’est dans le cadre de la visite de Volodymyr Zelensky la semaine dernière à Paris que cette initiative a été décidée.
Au-delà de cette volonté de matérialiser le soutien à Kiev, la prise en charge de Volodymyr Zelensky n’est pas dénuée de considérations purement sécuritaires. Appartenant à l’armée de l’air française, l’avion offre une immunité à son passager, dans la mesure où l’on voit mal une puissance étrangère abattre l’aéronef officiel d’une nation dotée de l’arme nucléaire, qui plus est membre de l’Otan. Un casus belli qui ferait basculer le conflit ukrainien dans des dimensions autrement plus graves.
À noter que ce n’est pas la première fois que le président ukrainien voyage sous protection française. Dimanche 14 mai, Volodymyr Zelensky avait volé depuis l’Allemagne dans le Falcon 7X habituellement réservé aux déplacements du président de la République. Ce que l’on pouvait d’ailleurs constater sur les images de son arrivée à Villacoublay.
Emmanuel Macron : “méprisant”, “roquet”… Un célèbre acteur tire à boulets rouges !
Par Gala – Nicolas Schwartz – Publié hier vendredi 19 mai 2023 à 10:08
– @ JONATHAN REBBOAH / PANORAMIC / BESTIMAGE –
Interrogé par « Le Figaro », à l’occasion de son départ de la Comédie-Française : Michel Vuillermoz a dit tout le mal qu’il pensait d’Emmanuel Macron.
Il ne fera jamais partie des personnalités pro-Macron : Sur le départ de la Comédie-Française, après 20 ans de services, Michel Vuillermoz en profite pour régler quelques comptes. Y compris avec le président de la République, qui le rend particulièrement nostalgique de l’un de ses prédécesseurs : Jacques Chirac, qu’il incarnera en octobre dans le film Bernadette. « Quelle chute de passer de Chirac à aujourd’hui, de cette dimension de la fonction présidentielle à un petit technocrate méprisant, un roquet hypra-intelligent, rapide, cultivé et séduisant », a lâché l’acteur dans Le Figaro, amer face à une époque « hallucinante d’incompétence et de méchanceté » en politique.
Un président passionné de théâtre ? : Au premier abord, cela aurait pourtant pu plaire à Michel Vuillermoz, qui a même pu croiser Emmanuel Macron. Ce dernier était venu le voir dans L’Hôtel du Libre-échange de Georges Feydeau.
C’était lors de son premier mandat, il était encore en état de grâce, se souvient le lauréat de deux Molière, avant de piquer à nouveau.
Est-ce de l’incompétence ou une volonté de démanteler les services publics de l’hôpital à l’Éducation nationale.
Comment peut-on prendre d’aussi mauvaises décisions et éviter à ce point les explications, la pédagogie ?
Par universfreebox.com – Lucas Musset – Publié le vendredi 19 mai 2023 à 15:37
Le fondateur de Free est prêt à avancer une grande partie de fonds pour le rachat de Casino, Monoprix et Franprix.
Les enchères sont déjà lancées pour prendre le contrôle de l’enseigne de grande distribution et des négociations avec Teract, structure dédiée à la consommation durable lancée par Xavier Niel, Mathieu Pigasse et Moez-Alexandre Zouari ont été bousculées. En effet, l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky a annoncé il y a dix jours être prêt à y injecter 750 millions. Une démonstration de force alors que le projet de Teract prévoit d’apporter 300 millions d’euros avec Intermarché, partenaire de Casino.
D’après les informations de BFMTV, la structure est malgré tout prête à investir en déboursant “quelques centaines de millions d’euros” pour s’approcher de l’offre de Kretinsky. Un investissement à part égale pour les trios fondateurs dans une structure distincte, même si le patron de Free financerait en grande partie le projet, puisqu’il leur “manque 400 millions d’euros” d’après une source proche du dossier.
La force de Teract tient dans son projet industriel en fusionnant ses enseignes alimentaires (Boulangerie Louise, Frais d’ICI) et de jardinerie (Jardiland, Gamm Vert) avec Casino, Monoprix et Franprix. Le tout en pouvant les approvisionner en produit frais grâce aux coopératives agricoles d’In Vivo, actionnaire majoritaire de Teract. Cependant, le manque de cash de l’offre est critiqué. Une conciliation doit cependant commencer selon certaines sources.
Un martien, qui est venu à trois endroits différents en une visite dans la même seconde… Maman j’ai peur ! Comment est-ce possible ? Que croire ? La on bourre les urnes ! Non ?