Marignane, Complexe Sportif, Centre Culturel d’Airbus Hélicoptères : Snack TINO

Assiette d’entrées variées
Plat du Jour : rôti de porc sauce forestière, frites et carottes confites à la crème

Nous fumes 4, arrivés vers 13:00 : afin de nous retrouver dans ce restaurant aux plats pleins de saveurs, de goûts fins. En entrée j’ai repris les filets de harengs pour verifier les épices, j’ai bien retrouvé le poivre noir de Madagascar Kampot (le plus parfumé).

France 1er mai 2023 : 7 à 10 fois plus de monde qu’en 2022

1ᵉʳ-Mai : les manifestations ont réuni sept à dix fois plus de monde qu’en 2022, sur fond de contestation de la réforme des retraites.

Par Le Monde – Live animé par Solène L’Hénoret et Charlotte Herzog – Publié hier lundi 1er mai 2023 à 22:33

L’intersyndicale a compté plus de 130000 manifestants, la préfecture, moins de 12000 dans le cortège bordelais. Le 1er mai 2023 à Bordeaux.

Image de couverture : UGO AMEZ POUR « LE MONDE »

Le ministère de l’intérieur a compté 782.000 manifestants en France, contre 116.500 en 2022. La CGT a annoncé de son côté avoir recensé 2,3 millions de personnes dans les cortèges.

Ce qu’il faut retenir de la journée de manifestations du 1ᵉʳ-Mai : Selon la CGT, 2,3 millions de personnes, dont 550 000 à Paris, ont manifesté en France. Le ministère de l’intérieur a annoncé, de son côté, que ce sont 782 000 manifestants qui ont défilé dans toute la France, dont 112 000 dans la capitale. Le cabinet indépendant de comptage Occurrence a fourni pour sa part ce chiffre : 94 000 manifestants à Paris.

Aux alentours de 21 heures, l’on dénombrait près de 300 personnes interpellées en France, dont plus d’une centaine à Paris.

Gérald Darmanin a annoncé dans la soirée, depuis la Préfecture de police de Paris, que cent huit policiers et gendarmes avaient été blessés dans le pays, dont l’un « grièvement » à Paris, après avoir été atteint par un cocktail Molotov. Ce policier « a le visage et les bras brûlés ». Il a été hospitalisé mais « son pronostic vital n’est pas engagé ».

Le syndicat de police Alliance a lui dénoncé un « 1er mai apocalyptique ». « Une nouvelle loi anticasseurs s’impose », a dit le syndicat. « Combien de temps encore faudra-t-il accepter ça ? », a aussi lancé Unité SGP Police-FO, l’autre syndicat majoritaire. « Combien de blessés et de drames dans nos rangs, avant de doter les policiers d’outils légaux interdisant à ces criminels d’accéder à toute manifestation ou rassemblement ? », dit encore le syndicat dans un communiqué.

À Paris, les premières tensions se sont produites dès le départ de la manifestation vers 14 h 15, place de la République. Depuis le pré-cortège, composé de plusieurs centaines de black block, des projectiles ont été lancés sur les forces de l’ordre, et plusieurs commerces ont été caillassés sur le parcours. Les affrontements se sont intensifiés vers 16 h 15 à l’arrivée du pré-cortège place de la Nation, terme du défilé.

Des centaines de black block ont notamment fait usage de feux d’artifice en tir tendu sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué à grand renfort de lacrymogènes, de grenades défensives et de canons à eau. Alors que la dispersion des manifestants était toujours en cours après 20 heures, des sapeurs-pompiers sont intervenus pour éteindre un incendie qui s’est propagé d’une borne de vélos en libre-service à un immeuble.

À Nantes, les affrontements, qui ont duré une bonne partie de l’après-midi, ont fait cinq blessés, dont un gendarme et un manifestant touché à une main, selon la préfecture. Des manifestants ont par ailleurs incendié deux voitures.

A Rennes, où une première manifestation syndicale s’était déroulée dans le calme en fin de matinée, un deuxième rassemblement organisé dans l’après-midi s’est rapidement tendu, les forces de l’ordre répliquant aux jets de projectiles par des tirs de gaz lacrymogènes et des lancers d’eau.

Des violences et d’importantes dégradations ont également émaillé la manifestation intersyndicale à Lyon, des incidents liés selon la préfecture à la présence de « 2.000 individus à risque dont 1.000 black blocks ». Les autorités ont fait état de quarante interpellations à Lyon. Les forces de l’ordre ont dénombré dans cette ville quinze blessés légers dans leurs rangs et un plus sérieusement à la main. Six manifestants ont été aussi légèrement touchés.

Des incidents ont également été recensés dans les cortèges à Bordeaux (vingt-trois interpellations) et Toulouse (seize interpellations). Les autorités ont dénombré quatre blessés légers, dont deux manifestants, à Bordeaux, et sept blessés, dont quatre policiers et gendarmes à Toulouse.

À Marseille, quelque 200 personnes ont brièvement occupé l’hôtel InterContinental, un hôtel de luxe, y causant des dégradations au passage, après le traditionnel défilé qui s’est déroulé dans le calme. « L’idée de cette action symbolique est de montrer que la question des retraites est un problème plus large de répartition des richesses », a expliqué Sébastien Fournier, de la Fédération syndicale unitaire, selon qui « l’un des actionnaires de cet hôtel est le fonds de pension Black Rock, qui a conseillé Macron sur les questions liées aux retraites ».

La façade de la Fondation Louis Vuitton, à Paris, a été recouverte de peinture lundi matin, a appris l’Agence France-Presse auprès de l’organisation environnementale Extinction Rébellion, qui a revendiqué cette action pour dénoncer notamment « l’optimisation fiscale » du groupe LVMH.

La première ministre, Elisabeth Borne, a dénoncé lundi sur Twitter les « scènes de violences en marge des cortèges » du 1er-Mai qu’elle a jugées « inacceptables », assurant de son « soutien » les forces de l’ordre.

Interrogé sur la suite du mouvement, Laurent Berger n’a pas donné d’indication précise, expliquant que les décisions seront prises « demain en intersyndicale ». Celle-ci « ira jusqu’au bout ». « On sera loyaux les uns envers les autres, on n’arrête pas de se parler entre nous », a-t-il souligné en réponse à ceux qui pensent que les organisations de salariés pourraient se désunir.

Lire la Source : https://www.lemonde.fr/politique/live/2023/05/01/1-mai-en-direct-les-manifestations-ont-reuni-sept-a-dix-fois-plus-de-monde-qu-en-2022-sur-fond-de-contestation-de-la-reforme-des-retraites_6171635_823448.html

Covid-19 : réintégration des soignants virés

Covid-19 : les soignants non vaccinés vont pouvoir être réintégrés à partir de « mi-mai », annonce le gouvernement.

« Les non-vaccinés ne sont pas forcément attendus avec des fleurs dans tous les services et partout », a prévenu le ministre de la Santé, François Braun.

Article rédigé par Franceinfo avec AFP – France Télévisions – Publié le lundi 01 mai 2023 à 22:30 – Mis à jour le lundi 01 mai 2023 à 22:31

Des soignants à l’hôpital de Perpignan (Pyrénées-Orientales), le 4 juillet 2022 – Photo d’illustration – (ARNAUD LE VU / HANS LUCAS / AFP)

Les soignants qui avaient été suspendus faute de schéma vaccinal complet contre le Covid-19 vont pouvoir être réintégrés, a annoncé avant le week-end le ministre de la Santé, François Braun, qui prévoit la parution d’un décret en ce sens « mi-mai ». « Ces soignants vont être réintégrés. Ces dernières semaines, j’ai réuni l’ensemble des parties prenantes, car je veux que la réintégration se fasse, mais dans de bonnes conditions », a annoncé le ministre de la Santé en marge d’un déplacement dans la Marne, vendredi 28 avril 2023. Ses propos ont été repris dimanche dans le journal Le Pays Briard et lundi par Le Parisien.

Cette décision fait à la suite de l’avis favorable de la Haute autorité de santé (HAS) donné fin mars à la levée de l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les soignants et les autres professionnels concernés. « Les non-vaccinés ne sont pas forcément attendus avec des fleurs dans tous les services et partout. L’instruction est prête. Je vais la signer en tout début de semaine prochain. Le décret de mise en application sera pour mi-mai », a-t-il précisé.

La réintégration de ces soignants défendue par les députés communistes : Paris avait opté pour la contrainte à la fin de l’été 2021 : l’obligation de se vacciner a été requise auprès de 2,7 millions de personnes, soignants mais aussi personnels des hôpitaux et des maisons de retraite, ambulanciers, aides à domicile ou encore pompiers. Faute d’attester d’un schéma vaccinal complet (deux, puis trois doses), quelques milliers ont depuis été suspendus, sans rémunération. « Un phénomène très minoritaire voire marginal » pour le ministère, qui estimait en mars la proportion d’agents hospitaliers encore concernés « autour de 0,3% ». Même proportion infime du côté des libéraux, où l’Assurance maladie dénombrait mi-mars moins de 2.000 soignants suspendus.

La question de leur réintégration était devenue un cheval de bataille politique, notamment pour le Rassemblement national et La France insoumise. Le groupe communiste a inscrit cette réintégration à l’ordre du jour de sa niche parlementaire le 4 mai 2023. Pour le ministre, « la meilleure chose serait de retirer les discussions sur ce projet, puisque, comme on dit, les choses seront faites ».

Lire la Source : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-les-soignants-non-vaccines-vont-pouvoir-etre-reintegres-a-partir-de-mi-mai-annonce-le-gouvernement_5801918.html